9.4 C
Munich
mercredi, mars 27, 2024
- Publicité -

« Bird Box » : quand une série B devient le carton surprise de Netflix

Carlos Mühlig
Carlos Mühlig
Depuis des nombreuses années, Carlos Mühlig met son savoir faire journalistique et en matière de communication au service de sa passion pour le 7ème art.

Les films Netflix cartonnent souvent grâce au bouche à oreille, tellement le choix de films et de séries à voir est incroyable. Pour « Bird Box », c’est la même histoire, car au début, personne n’y croyait. Aujourd’hui, qu’on adore ou qu’on déteste, personne peut passer à côté du phénomène « Bird Box » de la réalisatrice Susanne Bier avec Sandra Bullock. 


Abonnés ou non à Netflix (on se comprend, hein !), vous n’avez pas pu passer à côté du buzz « Bird Box », mis en ligne le 21 décembre 2018, et qui aujourd’hui à atteint les 45 millions de visionnages au bout de seulement 7 jours, du jamais-vu d’après la plateforme de streaming américaine, d’ordinaire secrète lorsqu’on aborde les audiences de ses contenus. Mais là, on peut comprendre qu’ils se lâchent avec les chiffres.

Ce film fantastique, qui fait penser un peu au film « The Mist » sorti en 2007 ou au film « Phénomènes » sorti en 2008, est inspiré du roman à succès du même nom, de l’auteur Josh Malerman. Dans l’adaptation sur le « petit écran », c’est l’actrice Sandra Bullock qui incarne Malorie Hayes, une mère de famille qui tente de protéger deux enfants d’un mystérieux phénomène qui pousse les humains au suicide. Le seul moyen de s’en préserver ? Garder les yeux fermés et/ou bandés et de suivre une piste vers un endroit protégé, mais qui se trouve au bout d’une rivière très dangereuse.

Outre les challenges stupides qu’a inspiré le film « Bird Box » sur la toile, et les critiques négatives, en partie dues à la haine que certains ont vis-à-vis de la plate-forme de diffusion, le film est bon à voir même si on peut être déçu par la fin ou qu’on aurait préféré en voir un peu plus (sans doute un bon signe quant à la qualité du film). Le film fait aussi l’objet de vifs débats aux-quels le maître de l’horreur Stephen King lui-même prend partie comme l’atteste son dernier tweet.

- Publicité -
- Publicité -